Facteurs humains protégeant contre l'infection

Même dans l'utérus, et, en particulier, de la naissance nous sommes entourés par un grand nombre de micro-organismes qui sont capables d'être la cause de la maladie. Cependant, au cours de l'évolution humaine à développer certains mécanismes de protection contre les agents infectieux. Ils font partie intégrante d'un système écologique complexe - "homme-nature».
Il existe des facteurs de protection de l'organisme, qui sont directement destinés à lutter contre les agents pathogènes. Cette - le système immunitaire (les facteurs de protection spécifiques).
D'autres facteurs - non spécifique. Ils ont non seulement protéger contre les infections, mais aussi d'effectuer d'autres fonctions.
Par exemple, par eux-mêmes la peau intacte et les membranes muqueuses sont suffisamment fortes protéger contre plusieurs agents infectieux.
Normalement, les micro-organismes neboleznetvornyh conventionnels existent sur la peau, l'intestin et la cavité buccale, les membranes muqueuses crée des conditions qui empêchent le développement, et par conséquent les effets nocifs des agents pathogènes. En cas de violation de cet équilibre (dysbiose) ou de l'exposition à de grandes quantités de l'agent infectieux est un facteur «percée» de protection, ce qui conduit à l'infection (infection), et le développement d'un processus infectieux.
Il faut dire à propos de ces mécanismes de protection non spécifique d'une nature adaptative de l'organisme pour assurer la destruction des micro-organismes en contact avec eux dans le sang, la salive, le liquide lacrymal en raison de la présence dans ces protéines médias, endommageant des agents pathogènes.
Certains actes physiologiques de la vie humaine comme crachats expectoration, les éternuements, uriner, exfolier la couche superficielle de la peau, etc .., jouent également un rôle de protection, comme il n'y a donc l'élimination mécanique des micro-organismes capturés dans le corps.
L'immunité spécifique aux maladies infectieuses du système immunitaire est fourni par les activités prévues sont constamment en circulation dans le sang et lymphatiques cellules (lymphocytes) et des communautés spécifiques de cellules - corps dispersés sur tout le corps (ganglions lymphatiques, les amygdales, la rate, les formations lymphoïdes dans les intestins, etc ..). Le système immunitaire est un mécanisme de défense universelle contre l'étranger (étrangère au corps humain), la protéine, un polysaccharide, la graisse et les substances colloïdales. Parmi ces substances, en particulier, composé de deux agents pathogènes. Ces substances sont appelées antigènes. En réponse aux antigènes du système immunitaire produit des anticorps - protéines spéciales contre les antigènes. Les anticorps sont des immunoglobulines présentées et les lymphocytes sont produits. Il est important que la spécificité des anticorps est très élevée, c.-à- pour un antigène spécifique produit ne lui est propre anticorps. Dans le cas de l'antigène et de l'anticorps produit rencontre bloquant l'action de la première qui a réalisé un complexe à médiation par l'interaction de nombreuses substances et des cellules des tissus du corps humain.
La formation d'anticorps spécifiques contre un antigène particulier (s) trouve son application dans l'application du principe de base de la vaccination contre les maladies infectieuses - la création d'un niveau de protection des anticorps dirigés contre des agents infectieux.
La présence d'anticorps après les maladies infectieuses et les sauver un peu de temps pour expliquer le niveau suffisant et l'immunité (immunité) de ces infections au moment de l'existence d'anticorps protecteurs. (. La rougeole, la rubéole, varicelle, etc.) Après certaines infections, la maladie récurrente est presque impossible; tandis que d'autres (la grippe, pseudotuberculosis, leptospirose, la dysenterie et d'autres.) Immunité courte ou insuffisante, ce qui se traduit par la possibilité de récurrences de ces infections. L'enfant nouveau-né pendant le développement du fœtus et dans le lait maternel après la naissance, la mère reçoit de ses anticorps à l'infection, avec laquelle il a fait face avant la grossesse et pendant la gestation. La quantité de ces anticorps diminue au fil du temps, mais dans la plupart des cas suffisants pour les protéger dans la première année de vie.
La détection d'anticorps spécifiques par les antigènes (et la relation inverse) est la base de ce qu'on appelle des réactions immunologiques permettant de diagnostiquer une maladie infectieuse, qui est très largement utilisé dans la pratique médicale.
En parlant de l'immunité, pour ne pas mentionner une autre des propriétés protectrices ont d'autres cellules sanguines - neutrophiles (neutrophiles). Il est phagocytose, i.e. la capture, la dissolution et l'excrétion (digestion) de substances étrangères, qui comprennent les agents pathogènes et les maladies infectieuses. La phagocytose est dans certains cas nécessaire pour démarrer la production d'anticorps, comme Il est une sorte de préparation d'antigène ( "splitting" de l'ensemble des cellules microbiennes dans sa matière constitutive). En outre, neutrophiles, "digérer" cellules entières microbiennes, réduit le nombre, et donc réduit leur effet pathogène sur le corps humain. L'analyse du nombre de neutrophiles dans le sang périphérique, il est possible de juger le degré de destruction du corps du patient à l'agent bactérien.
L'activité du système immunitaire peut être rompue sous l'influence de nombreux facteurs. L'exposition à des facteurs nocifs sur l'environnement (substances toxiques, les rayonnements ionisants, l'augmentation de l'allergie substances anthropiques), la malnutrition et les vitamines, physiques et le stress psychologique (stress), dans certains cas, le traitement antibiotique - ce sont quelques-unes des raisons qui contribuent à la réponse du système immunitaire inappropriée à l'impact d'un agent infectieux . réponse immunitaire défectueux peut conduire à la pondération d'une maladie infectieuse, le développement de complications, la transition de la maladie dans un cours chronique. Dans l'arsenal de la médecine moderne, il y a suffisamment de médicaments et les méthodes qui permettent la correction des troubles du système immunitaire, mais cette tâche est parfois extrêmement difficile.
Ces brèves et, apparemment, difficile à percevoir l'existence d'exemples de facteurs humains spécifiques et non spécifiques de protection contre les agents pathogènes servent à créer dans le lecteur une compréhension de base de la relation complexe entre les bactéries et le corps humain dans le développement des maladies infectieuses.